Savoir-faire
Jacquet

CONFORTEMENTS ET RENFORCEMENTS DE STRUCTURES

Ces savoir-faire participent à la réparation et la consolidation des maçonneries, conférant à la partie altérée d’une pierre une cohésion identique à celle non altérée. Les « consolidants » opèrent en réalisant des ponts entre les éléments désolidarisés de la pierre.

Les agrafes laiton : le plus souvent utilisées dans le traitement de fissures ou de lézardes. Elles consolident la maçonnerie en solidarisant les pierres de part et d’autre de la fissure.
Les bouchons : La technique du bouchon consiste à coller le plus discrètement possible un morceau de pierre ou un matériau de nature équivalente appelé « bouchon » en remplacement de la partie manquante. Le plus souvent, le bouchon est de la même nature que l’original, c’est à dire même dureté, même granulométrie et même couleur. Le bouchon doit se conformer au style originel en respectant les proportions, le style et l’aspect de taille. Par la suite, la réparation sera éventuellement vieillie et patinée de façon à être quasi-invisible.
Les goujons : cheville de fer ou de bois servant à réunir entre elles deux pièces de certains ouvrages de charpente ou de maçonnerie.
Le ragréage : cette technique consiste à enlever les parties altérées friables de la pierre, et à appliquer sur le matériau sain et nettoyé, un mortier imitant la pierre tout en respectant l’appareillage de manière à redonner au matériau d’origine l’apparence de son épiderme.
Les tirants : la technique traditionnelle du tirant métallique auquel est fixé à ses extrémités des ancres a l’inconvénient d’être visible. En plus de l’aspect esthétique, ce système crée des bulbes de pression aux extrémités du tirant. Enfin, la nature propre du métal l’expose à la corrosion.

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CONFORTEMENTS ET RENFORCEMENTS DE STRUCTURES

Ces savoir-faire participent à la réparation et la consolidation des maçonneries, conférant à la partie altérée d’une pierre une cohésion identique à celle non altérée. Les « consolidants » opèrent en réalisant des ponts entre les éléments désolidarisés de la pierre.

Les agrafes laiton : le plus souvent utilisées dans le traitement de fissures ou de lézardes. Elles consolident la maçonnerie en solidarisant les pierres de part et d’autre de la fissure.
Les bouchons : La technique du bouchon consiste à coller le plus discrètement possible un morceau de pierre ou un matériau de nature équivalente appelé « bouchon » en remplacement de la partie manquante. Le plus souvent, le bouchon est de la même nature que l’original, c’est à dire même dureté, même granulométrie et même couleur. Le bouchon doit se conformer au style originel en respectant les proportions, le style et l’aspect de taille. Par la suite, la réparation sera éventuellement vieillie et patinée de façon à être quasi-invisible.
Les goujons : cheville de fer ou de bois servant à réunir entre elles deux pièces de certains ouvrages de charpente ou de maçonnerie.
Le ragréage : cette technique consiste à enlever les parties altérées friables de la pierre, et à appliquer sur le matériau sain et nettoyé, un mortier imitant la pierre tout en respectant l’appareillage de manière à redonner au matériau d’origine l’apparence de son épiderme.
Les tirants : la technique traditionnelle du tirant métallique auquel est fixé à ses extrémités des ancres a l’inconvénient d’être visible. En plus de l’aspect esthétique, ce système crée des bulbes de pression aux extrémités du tirant. Enfin, la nature propre du métal l’expose à la corrosion.